Profession : policier et guérisseur

Robert Martin a fait toute sa carrière dans la police judiciaire. Flic de haut vol, il a toujours assumé sa particularité : il soigne avec ses mains.
Cet homme est d’abord un policier qui a gravi tous les échelons au « 36 quai des Orfèvres » – le siège de la police judiciaire à Paris – pour finir au poste de Chef de cabinet du Directeur Général de la Police Nationale (DGPN). Il est passé par la Brigade de répression du banditisme, la Brigade d’intervention et de recherche, la Section antiterroriste ou encore la protection des hautes personnalités.
À chaque fois, sa réputation l’a précédé dans les services : celle d’un homme qui prodigue des soins énergétiques et doté de perceptions extrasensorielles qui lui ont permis de faire avancer bien des affaires.
Dans cet univers de rationalité et parfois de brutalité, Robert Martin n’a jamais hésité à exercer ses dons de guérisseur ou à faire part de son intuition exceptionnelle. Au sein de la police, si certains s’en amusent, son activité a toujours été reconnue par la force des résultats. À l’approche de la retraite, il s’est installé en cabinet pour se consacrer pleinement à son art : soulager les brûlures, notamment après des séances de rayons, libérer des articulations, éliminer des douleurs et autres maux du corps. Cet homme, au physique de rugbyman avec un regard doux, a su rester humble malgré sa carrière hors norme.
Rebelle-Santé : C’est bien votre grand-mère qui vous a initié à la guérison ?
Robert Martin : Oui, elle barrait le feu et c’est elle qui m’a ouvert à la spiritualité, au-delà même de la religion, car elle était très religieuse. Et même si elle allait à la messe, elle croyait à d’autres puissances que le Christ. Elle croyait en la lumière, en cette force inconnue. C’est une foi qu’elle m’a donnée, la foi d’obtenir et de pouvoir guérir, de soigner par l’amour.
Au-delà de cette spiritualité, vous a-t-elle enseigné des techniques de soin ?
Elle m’a appris à barrer le feu. Elle ne m’a donné la prière qu’au moment de son départ. Mais de son vivant, elle me disait toujours : « Vas-y, débrouille-toi, n’aie pas peur. »
Enfant, une vision étrange vous a marqué…
Un jour, j’ai vu trois êtres éthérés derrière une fenêtre de la maison, j’ai juste ressenti de l’amour. Ça m’a marqué, il y a plus de 60 ans maintenant, je les vois encore. Je n’ai pas eu peur en les voyant. J’ai encore en moi l’amour que j’ai ressenti ce jour-là. D’ailleurs, ma grand-mère m’a dit que j’avais eu beaucoup de chance d’avoir vécu cela.
Quand avez-vous commencé à soigner ?
Vers 7-8 ans, peu après cette apparition des trois êtres. Ma grande sœur m’a dit que j’avais soigné un chien à la maison, mais je n’en ai pas le souvenir. Mais j’avais cette envie de faire du bien. D’ailleurs, le fait d’entrer dans la police, c’était aussi pour faire du bien.
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