Les réponses que j'ai apportées
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Après avoir vu le message sur les déodorants, je me permets de copier dans cette partie mon message à titre purement informatif :
Salut à tous,
c’est ma première intervention sur le forum et je suis étonné de ce que je lis sur l’alun.
Alors bien sûr, j’avais entendu ces derniers mois toutes les polémiques suite au reportage de France 5 qui faisait état de l’études des professeurs de l’université de Poitiers, et l’ensemble des articles parus depuis sur le suite.
Néanmoins, je suis surpris que personne n’ait relayé les info suivantes :
L’étude évoquée par l’Observatoire des Cosmétiques, et dans le reportage de France 5, a été réalisé en 2004, et à l’époque cette étude avait été dénoncée par son commanditaire pour son manque de crédibilité scientifique (étude d’un cas unique, jamais rencontré avant et après cette étude sur des gens utilisant le même type de produit).
Cette même étude est ressortie comme par enchantement en novembre 2011, par l’intermédiaire de l’ex Afssaps qui a décidé de lancer une consultation européenne, ce qui ne peut être pris comme preuve d’une quelconque dangerosité.
De plus, personne n’est revenu sur le fait que les professeurs qui ont réalisés cette étude ont eux mêmes admis avoir fait quelques erreurs de calcul, entre autre sur le pH de la sueur responsable d’un possible passage transcutané de l’alun. Sans ce pH très acide la démonstration qu’ils font tombe à l’eau.Et point non négligeable on ne parle sur ce forum de la supposition dont beaucoup de monde parle, et qui tendrait à montrer que cette étude a été ressortie du placard pour faire les beaux jours d’un grand de la GMS qui sortait dans le même temps une gamme de déos sans sel d’aluminium.
Enfin, pour avoir relativement bien suivi le dossier car utilisateur de la pierre en après-rasage et déos et ceux depuis plus de 15 ans, je constate que personne ne fait état du fait que les organismes comme Cosmébio et Ecocert aprés étude ont décidé de continuer à valider la pierre d’alun comme ingrédient naturel, et que le principe de précaution ne pouvait s’appliquer sur la base d »hypothèses non relayées par aucune étude scientifique. Les seules études réalisés sur l’alun tendent à montrer qu’aucun développement cancéreux ne se fait même après absorption par une souris de quantité quotidienne : [i][b]Etude 2008 de l’EFSA : L’administration orale chez la souris de sulfate d’aluminium et de potassium (=alun de potassium) pendant 20 mois ne montre aucune augmentation du nombre de tumeurs ni aucune lésion proliférative, à aucune des 4 doses testées (jusqu’à 850 mg Al/kg pc./j., à titre comparatif la dose quotidienne d’aluminium appliqué en utilisant une pierre d’alun est estimée à 0.015 mg/jr). Ces résultats permettent de conclure à l’absence de potentiel cancérogène du sulfate d’aluminium et de potassium chez la souris dans cette étude.[/b][/i]
Bref moi je continue à utiliser l’alun sans crainte, mais aussi les argiles et tous les minéraux naturels reconnus de longue date qui ont pour la plupart des teneurs en aluminium bien supérieures à la pierre d’alun.
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Salut à tous,
c’est ma première intervention sur le forum et je suis étonné de ce que je lis sur l’alun.
Alors bien sûr, j’avais entendu ces derniers mois toutes les polémiques suite au reportage de France 5 qui faisait état de l’étude des professeurs de l’université de Poitiers, et l’ensemble des articles parus depuis sur le sujet.
Néanmoins, je suis surpris que personne n’ait relayé les info suivantes :
L’étude évoquée par l’Observatoire des Cosmétiques, et dans le reportage de France 5, a été réalisé en 2004, et à l’époque cette étude avait été dénoncée par son commanditaire pour son manque de crédibilité scientifique (étude d’un cas unique, jamais rencontré avant et après cette étude sur des gens utilisant le même type de produit).
Cette même étude est ressortie comme par enchantement en novembre 2011, par l’intermédiaire de l’ex Afssaps qui a décidé de lancer une consultation européenne, ce qui ne peut être pris comme preuve d’une quelconque dangerosité.
De plus, personne n’est revenu sur le fait que les professeurs qui ont réalisé cette étude ont eux-mêmes admis avoir fait quelques erreurs de calcul, entre autres sur le pH de la sueur, responsable d’un possible passage transcutané de l’alun. Sans ce pH très acide la démonstration qu’ils font tombe à l’eau.Et point non négligeable, on ne parle sur ce forum de la supposition dont beaucoup de monde parle, et qui tendrait à montrer que cette étude a été ressortie du placard pour faire les beaux jours d’un grand de la GMS qui sortait dans le même temps une gamme de déos sans sel d’aluminium.
Enfin, pour avoir relativement bien suivi le dossier car utilisateur de la pierre en après-rasage et déos et ce depuis plus de 15 ans, je constate que personne ne fait état du fait que les organismes comme Cosmébio et Ecocert après étude ont décidé de continuer à valider la pierre d’alun comme ingrédient naturel, et que le principe de précaution ne pouvait s’appliquer sur la base d »hypothèses non relayées par aucune étude scientifique. Les seules études réalisées sur l’alun tendent à montrer qu’aucun développement cancéreux ne se fait même après absorption par une souris de quantité quotidienne : [i][b]Etude 2008 de l’EFSA : L’administration orale chez la souris de sulfate d’aluminium et de potassium (= alun de potassium) pendant 20 mois ne montre aucune augmentation du nombre de tumeurs ni aucune lésion proliférative, à aucune des 4 doses testées (jusqu’à 850 mg Al/kg pc./j., à titre comparatif la dose quotidienne d’aluminium appliqué en utilisant une pierre d’alun est estimée à 0.015 mg/jr). Ces résultats permettent de conclure à l’absence de potentiel cancérogène du sulfate d’aluminium et de potassium chez la souris dans cette étude.[/b][/i]
Bref moi je continue à utiliser l’alun sans crainte, mais aussi les argiles et tous les minéraux naturels reconnus de longue date qui ont pour la plupart des teneurs en aluminium bien supérieures à la pierre d’alun.