Lédon du Groenland

(Ledum groenlandicum)

ledon du groeland

À choisir avant tout pour sa remarquable affinité avec le foie. C’est vraiment le roi du soutien hépatique, suite à des troubles digestifs, une maladie avec des traitements lourds, un foie fragile chronique, un surpoids avec un gros ventre et une stéatose hépatique (« foie gras »), etc.

Pour qui ?

Toute la famille, sauf les femmes enceintes, allaitantes et les enfants, par précaution.

À quoi sert-il ?

  • C’est l’hydrolat n° 1 du foie, pour l’aider, le soutenir. Le réflexe à avoir après ou pendant un traitement médicamenteux au long cours, une intoxication, une congestion hépatique, une hépatite ou toute séquelle d’hépatite.
  • Hydrolat majeur des changements de saison, surtout au printemps, il se met aussi en quatre pour réduire le risque d’allergie au pollen, risque toujours aggravé par un foie fatigué. Dans cette optique, on l’utilisera en cure préventive de 15 jours à un mois et non comme réponse à un symptôme comme le nez qui coule ou les yeux qui pleurent : à ce stade, le feu de l’inflammation est déclaré, ce sera donc plutôt à l’hydrolat d’estragon de jouer le rôle de pompier.
  • En externe, cet hydrolat apaise les peaux sensibles, réactives, allergiques. Parfait aussi pour purifier les peaux grasses et/ou acnéiques, et les cuirs chevelus qui tiraillent.

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Foie gras

Partout où le mode de vie s’occidentalise se développe une épidémie silencieuse, celle du foie gras.
Sauf qu’on ne parle pas ici du foie gras d’oie ou de canard que l’on consomme au moment des fêtes de fin d’année, mais de notre propre foie que l’on engraisse consciencieusement au fil des années et des décennies, avec pour effet de détériorer sa capacité à éliminer les déchets, voire d’assurer correctement la transformation de la vitamine D.