Verrues (bis) : attention aux bouchers !

« Dans le temps, j’avais un bar et, en face, il y avait une boucherie. A cette époque, tous les bouchers allaient à l’abattoir municipal et je vous prie de croire qu’il y avait de l’ambiance ! Un jeune apprenti, embauché par mon voisin d’en face, avait des verrues sur les mains. Conseil des anciens à l’abattoir : tu ne peux pas garder ça dans ton métier ! Nous allons t’en débarrasser. Dis-nous quelle verrue a poussé en premier… Ils l’ont tout bonnement brûlé avec un pique-feu rougi. Ca a été radical mais toutes les autres verrues ont ensuite disparu. A chacun son remède : cette histoire est réelle et ce jour-là, tout le monde à l’abattoir a dû passer un bon moment ! Madame Lacoste, vous allez aussi passer un bon moment en lisant ma lettre, meilleur que celui qu’a vécu Paul, l’apprenti-boucher ! ».
Truc envoyé par Robert D. de Pont de Beauvoisin
Oui, on peut rire… Mais surtout ne pas suivre cet exemple ! Pour faire disparaître les verrues, il y a des méthodes beaucoup plus douces ! Comme la chélidoine, ou le lait de figue appliqué quotidiennement, ou encore la bave d’escargot… Et pour finir, une cure de magnésium sous forme de chlorure de magnésium à diluer et à boire à raison d’un verre chaque matin à jeun (c’est aussi mauvais qu’efficace, contre les verrues, mais aussi le stress et la fatigue !).