Syndrome Klippel-Trénaunay et conseils

J’ai lu avec grand intérêt votre article concernant le syndrome Klippel-Trénaunay (paru dans la revue de mars, n° 163, NDLR), car les articles sur ce syndrome sont assez rares et je vous en remercie.
J’en profite pour vous féliciter pour vos parutions et je sais que vous resterez fidèle à ce titre bien inspiré : Rebelle.
En effet, il faut être rebelle face à la mafia des laboratoires et continuer, comme les Even, Debré, De Lorgeril et bien d’autres, n’obéissant pas à ces diktats, à dénoncer ce système corrompu qui tue 18 000 personnes par an. Bref, en m’excusant de ce préambule, je tenais à vous préciser que je souffre de ce fameux syndrome et j’appartiens donc à ce millier de personnes au monde qui en est affecté.

Je suis âgé de 78 ans et on n’a découvert ce syndrome que vers mes 28 ans ! La jambe gauche mesure 4 centimètres de plus que la droite avec un angiome plan (la fameuse tache de vin) sur le côté postérieur et latéral externe du membre. Avec un difficile retour veineux et de nombreux ulcères guéris grâce à une herboriste de Lorraine où j’habitais dans mon enfance. Les conseils que je pourrais éventuellement donner sont des recommandations que je respecte depuis plusieurs décennies et je me porte comme un charme ! Pas de tabac, des chaussures adaptées, un bas de contention n° 3 ou 2 jusqu’au genou, une douche froide tous les matins. J’ai commencé par la jambe et devant les bienfaits de l’eau froide, maintenant, c’est tous les matins sur tout le corps, un vrai délice ! Commencez par les chevilles pendant 2 ou 3 semaines, puis montez à votre rythme jusqu’au visage, dos, etc., tout le corps. Un bienfait peu onéreux et efficace pour vous maintenir en pleine forme. Voilà, je voulais vous faire part de ma démarche et insister sur ces solutions pour vivre plus confortablement ce syndrome. »

Jean M. de l’Ardèche, thérapeute en énergétique chinoise et certifié de l’Université de Médecine Traditionnelle Chinoise de Shanghai

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